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Mise en avant

Motion adoptée par le bureau national du 7 avril 2020

Circulaire Bureau national du 7 avril 2020
Crise sanitaire du Covid-19 : protéger les personnels,
assurer les missions prioritaires de nos services publics et
préparer l’avenir…

LE SNASUB-FSU, ENGAGE AU QUOTIDIEN !

En annonçant le jeudi 12 mars 2020 la fermeture au public des écoles, des collèges, des lycées et des universités, Emmanuel Macron engageait le pays sur la voie du confinement. Si cette décision politique était prévisible, attendue par certain.es et redoutée par d’autres, elle n’en a pas moins été brutalement ressentie par nombre de nos collègues.

Le gouvernement porte une lourde responsabilité dans la crise sanitaire que nous vivons : sous-évaluation de la situation, poursuite des politiques d’austérité menées depuis des années (réduction du nombre de lits dans les hôpitaux, réduction des effectifs de personnels soignants, dotation budgétaire insuffisante pour le matériel médical…). Il a tenu des propos contradictoires, prétendant d’abord rassurer en janvier sur le fait que le Covid- 19 resterait hors des frontières, puis en présentant les capacités sanitaires comme suffisantes pour faire face à la maladie et, enfin, en blâmant en mars celles et ceux qui sortaient de chez eux et qui devenaient alors les responsables de l’expansion de l’épidémie.

Pourtant, ce qui a prédominé, c’est la conscience partagée largement de la nécessité de mesures drastiques pour ralentir et limiter la progression de l’épidémie afin de sauver des vies humaines. C’est cette conscience qui a forgé ce consentement large, très exceptionnel et temporaire, à renoncer à des libertés aussi fondamentales que celles de circuler librement ou de se réunir.

Le SNASUB-FSU a considéré pour sa part que l’intérêt général dictait de demander aux personnels dont la présence n’est pas requise pour assurer les tâches urgentes et nécessaires pour la continuité du service de rester chez eux !

Il n’en reste pas moins lucide quant au fait que la crise sanitaire produite par la pandémie de covid 19 a fait entrer la France, à l’instar du reste du monde, dans une situation exceptionnelle qui révèle grandeur nature tous les périls sociaux que font courir le développement des inégalités sociales, la privatisation des services publics et les politiques d’austérité menées depuis des décennies au nom d’un néolibéralisme ravageur.

L’engagement des agents publics, qui se rendent au travail pour permettre la continuité du service, qui exercent leurs missions en travaillant confiné.es à leur domicile ou qui sont en situation de travail empêché (notamment du fait de leurs fonctions non « télétravaillables », pour préserver leur santé et celles des autres ou bien garder leurs enfants) montre combien le sens de l’intérêt général qui les animent est constitutif et essentiel à la solidarité et à la préservation des droits sociaux de toutes et tous.

Pour autant, le SNASUB-FSU ne saurait accepter qu’en cette période exceptionnelle ne soient prises des mesures d’exception qui inscriraient dans le droit ordinaire ou dans la durée de nouvelles dégradations des conditions de travail et de vie pour les salarié.es, de nouveaux reculs démocratiques et des libertés publiques.

Le gouvernement a choisi d’instaurer un état d’exception, un état d’urgence sanitaire, au motif de préserver les conditions sanitaires, sociales et économiques de toutes et tous, de permettre de soutenir l’économie et d’assurer le fonctionnement des services publics. Certains choix législatifs et budgétaires opérés paraissent aller dans ce sens (continuité des revenus, soutien au financement du chômage technique, élargissement de la trêve hivernale, abrogation temporaire du jour de carence…) mais de nombreux autres apparaissent surtout pris pour préserver les intérêts privés des plus riches dans la continuité de la politique gouvernementale menée depuis 2017. Par exemple, contrairement à d’autres pays de l’UE, la France a refusé d’interdire le versement de dividendes aux actionnaires pour que les entreprises concernées puissent faire face aux paiements des salaires notamment. De même, il est totalement INACCEPTABLE que sous prétexte de renforcer l’économie à la fin du confinement, le gouvernement s’accorde le droit par ordonnance de revenir sur des acquis pour les salarié.es, notamment en augmentant dans le privé le temps de travail à 60 heures hebdomadaires dans certains secteurs d’activités.

Le plan de garantie prévu à hauteur de 300 milliards pour soutenir les entreprises vis-à-vis de leurs créanciers si leur activité était trop réduite ou à l’arrêt n’est assortie d’aucunes conditions sociales pour les salarié.es.

Les services publics font à nouveau la preuve qu’ils sont une garantie essentielle pour les droits de toutes et tous !

Il faut les soutenir, les renforcer et reconnaître enfin l’engagement sans faille de leurs personnels au service de l’intérêt général.

Les personnels de la fonction publique ne seront sans doute pas non plus épargnés par des pressions inadmissibles sur leurs conditions de travail, notamment le temps de travail ou du droit à congés. Si la réglementation en vigueur permet de faire face à des situations exceptionnelles, le SNASUB-FSU s’oppose à toute application autoritaire de celle-ci.

Au global, l’approche incohérente et les discours ministériels contradictoires (relevant parfois du déni) ont surtout empêché les services et les établissements de mieux s’organiser. Comment ne pas constater que la continuité du service est aussi assumée aujourd’hui dans un contexte massif de télétravail inadapté à nos organisations, sans outils mis à disposition, à l’aide des équipements personnels de nombreux collègues, sur leurs moyens propres ? Comment ne pas saluer l’élan de volontariat qui anime la majorité des agents pour assurer la continuité du service public ou les missions exceptionnelles de solidarité ? Cela démontre que les personnels n’ont pas besoin d’injonctions autoritaires pour assurer leurs missions !

Pour le SNASUB-FSU, ce qui apparaît, c’est l’incurie des approches managériale et austéritaire que subissent les services publics et leurs salarié.es. Fondées sur de prétendues « rationalisations » pour pallier les coupes budgétaires de la réduction dogmatique des dépenses publiques, sur une mise en concurrence des personnels entre eux au nom de leur « performance », sur l’affaiblissement du statut au profit du contrat de gré à gré…

Ce qui apparaît c’est que la défense intrinsèque de l’intérêt général est au coeur de la culture professionnelle des agents publics.

Des mesures d’urgence nécessaires sont à prendre ! Il faut :

  • renforcer les mesures de sûreté sanitaire et de protection des personnels appelés à travailler en présentiel : (masques, blouses, combinaisons, gel hydroalcoolique…) ;
  • assurer la disponibilité massive de tests de dépistage pour préparer le déconfinement ;
  • reconnaître comme maladie professionnelle toute contamination au travail par le Covid-19 ;
  • abroger définitivement le jour de carence en cas d’arrêt maladie ;

Le SNASUB-FSU exige également d’autres mesures ! Il faut :

  • reconnaître le travail des personnels par la revalorisation des carrières et des rémunérations, par des mesures générales et non des mesures particulières qui divisent : dégel de la valeur du point d’indice, requalification des emplois et promotion des personnels ;
  • abroger la loi dite de « transformation de la fonction publique » qui affaiblit le statut et la représentation syndicale des personnels dont la situation montre combien elle est essentielle au fonctionnement des services publics.
  • un plan de création massive d’emplois titulaires pour répondre à tous les besoins nouveaux créés par la crise sanitaire, pour renforcer et redéployer toutes les missions de service public ;
  • un plan de renforcement des budgets publics et sociaux et une réforme fiscale qui soit guidée par le principe de répartition des richesses finançant les droits sociaux de toutes et tous ;

De ce point de vue, le SNASUB-FSU appelle tous les personnels de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la culture à signer l’appel « PLUS JAMAIS ÇA ! CONSTRUISONS LE JOUR D’APRÈS ! » porteur de propositions pour « reconstruire ensemble un futur écologique, social et démocratique ».

Le SNASUB-FSU condamne les dispositions législatives et les ordonnances gouvernementales prises en mars et en avril qui visent à déréglementer toujours plus le Code du travail et la protection des salarié.es du privé : notamment celles en matière de temps de travail, de RTT et de droit à congés. La crise sanitaire actuelle ne peut pas servir d’opportunité au gouvernement pour continuer son oeuvre de casse sociale.

Pour ce qui concerne les agents publics, titulaires et non titulaires, nous agirons de façon extrêmement déterminée pour le respect de nos droits ordinaires à congé et notamment contre toute contrainte hiérarchique à poser des jours de congés le cas échéant.

Le SNASUB-FSU assure de sa solidarité les personnels de santé, celles et ceux de la fonction publique hospitalière notamment. Il réaffirme la nécessité d’une autre politique de santé qui soit fondée sur la réponse aux besoins et non sur l’austérité et la concurrence.

Mise en avant

Coronavirus : l’heure est à la solidarité et à la protection de toutes et tous pour endiguer l’épidémie !

Syndicat national de l’administration scolaire universitaire et des bibliothèques
Fédération syndicale unitaire

Pour endiguer l’épidémie de COVID-19 qui se répand dans le pays, la meilleure protection réside dans ce que les scientifiques appellent la « distanciation sociale » et dans les mesures et gestes barrières !


Le développement de l’épidémie s’accélère !


L’heure est à la solidarité et à la mise en protection !


Assez de confusion !

Ces 5 derniers jours, la crise sanitaire créée par le coronavirus s’est aggravée et la France a basculé dans une situation inédite !

La fermeture au public des écoles, des collèges, des lycées, des universités, des bibliothèques, des services doit aussi aboutir à des fonctionnements à effectifs les plus restreints possibles pour assurer la continuité de service nécessaire, rien de plus ! 

C’est simplement une question d’organisation pratique de la « distanciation sociale », incontournable pour faire reculer l’épidémie. C’est simplement le devoir de protection des personnels !

Ce qui peut être organisé en télétravail doit l’être sans délai.
Ce qui ne peut pas doit être réduit au strict nécessaire.
Les collègues en autorisation spéciale d’absence pour garde d’enfants ne peuvent être sommés d’avoir en plus à organiser un télétravail.

L’intérêt général dicte donc de demander aux personnels dont la présence n’est pas requise pour des tâches immédiates et de première nécessité pour la continuité du service de rester chez eux !
Il s’agit là aussi d’un acte pratique de solidarité que de se protéger soi pour protéger les autres.


Pour les personnels dont la présence physique est requise sur le lieu de travail pour assurer la continuité de service minimale et nécessaire, il est impératif qu’ils bénéficient des conditions de protection et d’hygiène renforcées nécessaires (distances suffisantes entre les postes de travail, nécessaire de nettoyage des postes et outils de travail, gants, masques, gel hydroalcooliques, etc…)

Le SNASUB-FSU demande que les situations financières et sociales des personnels soient préservées tout le temps de l’épidémie et des mesures de confinement qui viennent d’être annoncées : pas de jour de carence appliqué en cas de maladie, pas de retenue sur salaire de quelque nature que ce soit, pas d’interruption, de non-renouvellement ou de fin de contrat pour les personnels non-titulaires…

La communication ministérielle a semé la confusion entre jeudi et dimanche après-midi. Le résultat est que ce lundi matin, services et établissements ont dû rattraper ce temps perdu en impréparation et en cafouillage !

Assez tergiversé !

Tout ce qui est hasardeux doit être stoppé sans délai ! Les effectifs doivent être réduits au juste nécessaire pour assurer la continuité immédiate de service et les missions soutenant l’investissement des personnels soignants ou la recherche sur le coronavirus.

  • En cas de difficulté à faire valoir votre droit à vous protéger pour protéger les autres,
  • en cas d’exigence zélée vous demandant de vous déplacer pour venir au travail sans motif immédiat de continuité du service,
  • en cas de situation de travail ne respectant pas les conditions d’hygiène et de sécurité nécessaire,
prenez contact avec les représentant-es du SNASUB-FSU de votre section académique ou d'établissement,
 ou adressez un courrier électronique à : snasub.fsu@snasub.fr

Motion d’actualité adoptée par la commission nationale administrative du SNASUB-FSU réunie à Bagnolet le mercredi 22 janvier 2025

SNASUB-FSU

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Intervention du SNASUB-FSU lue lors du débat général du premier jour du 11e congrès national de la FSU réuni à Rennes

SNASUB-FSU

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DSI en services académiques : 110 emplois en missions académiques réaffectés en missions nationales entre 2025 et 2028 ?

SNASUB-FSU

Pour en discuter, rendez-vous à notre réunion d’information syndicale, en visio, jeudi 6 février 2025 – 14 h.

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Discours de politique générale : l’abrogation, pas un « conclave » !

Le discours de politique générale du Premier ministre, annoncé comme de nature à trouver des chemins de « compromis sociaux », s’est inscrit à l’inverse dans la parfaite continuité des politiques menées jusqu’à présent, essentiellement dans l’intérêt des plus riches, sans inflexion majeure pour les intérêts du monde du travail. Il n’y a donc en réalité dans ce discours rien qui puisse sortir le pays des crises sociales, démocratiques, politiques et environnementales qui le secouent depuis quelques années, de manière inquiétante depuis le début de l’été, et qui font le lit d’une extrême droite raciste et réactionnaire.

La FSU ne se satisfait pas d’un effet d’annonce sur la « remise en chantier », sous forme d’un « conclave » (!) de la réforme des retraites, fondée dans l’immédiat sur la seule expertise prétendument incontestable de la Cour des comptes, véritable manière de verrouiller d’emblée la question des financements. Il paraît paradoxal de demander aux partenaires sociaux de trouver un accord sur une nouvelle réforme sans en changer les objectifs budgétaires et sans suspendre la réforme de 2023. Cela ne tient aucunement compte de la mobilisation sociale exceptionnelle de 2023 comme de son rejet toujours aussi majoritaire et vivace. La FSU s’engagera dans le cadre de l’intersyndicale pour obtenir son abrogation.

Le discours n’a répondu à aucune des urgences sur lesquelles le gouvernement est pourtant attendu dans l’immédiat en matière de service public et de Fonction publique.

Rien n’a été dit par exemple sur les 3 jours de carence contre lesquels les professions de la Fonction publique se sont largement mobilisées, en particulier le 5 décembre dernier. Rien sur l’urgence de revaloriser les fonctionnaires alors que l’attractivité est en berne, c’est là le moyen de leur reconnaissance. Rien non plus sur les arbitrages budgétaires envisagés, par exemple sur les suppressions de postes, sur les dotations aux collectivités au-delà d’une réduction de l’effort qui leur est demandé, etc. En revanche, le Premier ministre a fait le choix de reprendre le terme très équivoque de « débureaucratisation », la FSU s’en inquiète, de même que les perspectives de politique anti-migrants ont été malheureusement précisées.

Pour la FSU, il y a urgence à cesser de céder aux obsessions libérales pour la détermination des politiques publiques. Elle appellera les personnels à reprendre les mobilisations pour obtenir une tout autre politique.

Bagnolet, le 14 janvier 2025

 

Solidarité avec les habitantes et habitants de Mayotte

Mayotte a été frappée durement par le cyclone Chido samedi 14 décembre. La situation est dramatique : bidonvilles entièrement soufflés, bâtiments en dur en partie détruits, plus d’eau ni d’électricité, hôpital durement touché, routes impraticables. Le bilan humain est terrible avec déjà quelques dizaines de morts recensés et ce bilan devrait être beaucoup plus lourd encore.

La FSU exprime sa solidarité avec Mayotte et apporte tout son soutien à l’ensemble de ses habitants. La FSU se mobilise avec Solidarité laïque pour engager une aide rapide aux Mahorais.

La FSU exige que l’État assume immédiatement toutes ses responsabilités dans les opérations d’acheminement de nourriture, de remise en l’état des réseaux d’eau, d’électricité, de prise en charge des blessés. Chaque minute compte et l’éloignement géographique entre Paris et Mayotte ne peut être prétexte à des atermoiements coupables de la part des autorités.

La FSU attend des pouvoirs publics que ceux-ci soutiennent et accompagnent les personnels de la fonction publique dans l’exercice de leurs missions essentielles d’intérêt général, de protection de la population et de restauration de ses conditions d’existence. La FSU sera particulièrement attentive à ce que les agent·es de la Fonction publique ne soient pas laissés seul·es face à l’immense défi de la reconstruction de Mayotte.

Dans ces îles, désormais aux paysages de fin du monde, tout est en effet à reconstruire. Cela va nécessiter des investissements conséquents de la part de l’État. Les services publics, centrés sur les besoins de la population, doivent être renforcés et pérennisés. En effet, Mayotte est aujourd’hui le territoire français le plus pauvre  et, depuis sa départementalisation,  l’État ne s’est pas montré à la hauteur de la solidarité nationale qui aurait dû permettre son développement, abandonnant  ses habitants  face aux crises multiples. Des mesures d’urgence et de moyen terme doivent être prises pour enfin, satisfaire les besoins élémentaires de toute la population en termes d’accès à l’eau potable, l’éducation, la santé, l’habitat social, l’emploi…

Dans un des départements les plus jeunes de France, l’État a la responsabilité de reconstruire mais aussi de préparer l’avenir pour tous les habitant·es de Mayotte. Après avoir répondu aux urgences sanitaire, alimentaire et de logement, la rescolarisation des enfants et des jeunes devra être une priorité.

Enfin, alors que les scientifiques soulignent que les températures de l’Océan Indien, plus élevées que la normale, ne peuvent qu’aggraver l’intensité des cyclones, la FSU rappelle qu’il y a urgence à développer des alternatives économiques, sociales et environnementales.

Bagnolet, le 17 décembre 2024

Les retraites seront revalorisées sur l’inflation en janvier 2025

Grâce à la motion de censure et donc sans budget de la Sécu, les retraites seront revalorisées sur l’inflation en janvier 2025 !
La sous-indexation des retraites prévue dans le budget de la Sécu ne s’appliquera pas : les retraités verront leurs pensions revalorisées en étant indexées sur l’inflation, comme le prévoit la loi.

En vertu du Code de la Sécurité sociale, les retraites de base sont chaque année augmentées au 1er janvier, indexées sur la hausse des prix à la consommation (hors tabac) constatée par l’Insee pour l’année précédente. Les pensions devraient donc normalement augmenter de 2,2%, correspondant au niveau de l’inflation estimée entre octobre 2023 et novembre 2024.

Le courrier du retraité n° 258 de novembre 2024 est paru : https://www.fgrfp.org/presse/CR/pdf_cr/258_web.pdf

Personnels administratifs et ATRF : mutations interacadémiques 2025, c’est parti !

Notre dossier Mutations 2025 en ligne ci-dessous avec le calendrier des opérations et une fiche de suivi.

N’hésitez pas à nous contacter : mobilites@snasub.fr

Liens :

–> Pour consulter l’espace dédié sur le site du ministère.
–> Se connecter à AMIA.
–> Lignes directrices de gestion ministérielles (LDGm) mobilité : la partie commune.
–> LDGm mobilité : l’annexe 2 concernant les personnels ATSS et ATRF.

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